Photo des membres du collectif dans la nature devant une cascade

Crédit photo : Loig Garcia

Convergence
des slut·tes
c’est qui ?

Convergence des Slut·tes c'est 18 copaines, des amireuses (ami·es + amoureux·ses + admireur·euses) queers : des artistes, des organisateur·ices de soirées et d'évènements artistiques, des DJs, des drags, des poète·sses, des teufeur·euses, des cigales mais aussi des fourmis, des gobelin·es, des lutin·es et des trol·les en tous genres.

L'éclectisme règne autant dans les sensibilités artistiques aiguisées de chacun·e des membres que dans leur personnalité. Ce gloubi-boulga relevé affectionne particulièrement se dorloter comme des chats dans un panier, prononcer un mantra et s’étirer avant d’aller taper du pied, s’amuser en club comme dans une cour de récré avant de s'empiffrer de mimes et calembours de fin de soirée.

Photo d'une soirée de Convergence des Slut·tes. On aperçoit du public ainsi que 2 DJ en train de jouer.

Crédit photo : Pascale Chollet

Convergence
des slut·tes
pourquoi ?

Après bien des voyages initiatiques dans des fêtes en tous genres, les Slut·tes convergent autour d’un « Ah c’est ça qu’on savait ! », comme une révélation prophétique, un touché du bout du doigt, une caresse derrière l’oreille de ce que pourrait être une utopie d’un rassemblement autour de la fête, de la nuit, des arts vivants et des musiques électroniques. Après deux ans de pandémie, il est temps de dé-fabriquer, re-fabriquer, imaginer ensemble des espaces de création artistique où chacun·e se sentirait inclus·e, où chacun·e se sentirait libre de se connecter ensemble, où chacun·e aurait l’opportunité de s’exprimer. Comment créer des espaces où chacun·e puisse se sentir accepté·e et respecté·e dans toute sa singularité ?

Notre trajectoire collective est de promouvoir les arts et les cultures queers, de voir discuter les arts vivants et le monde de la nuit, car après tout, une soirée, comme un spectacle, c’est une histoire à raconter. Pour nous, ces histoires sont transdisciplinaires, elles traversent les arts vivants grâce à la performance, les musiques électroniques, les arts du cirque et bien d’autres encore…Mais elles existent aussi dans les arts visuels via le cinéma, la peinture, la sculpture, etc. Ces histoires que nous aimerions partager véhiculent un désir d’inclusivité, de diversité, de singularité. Ce sont des histoires queers, trans, pédés, gouines, putes, bi·es, fluides et bien d’autres histoires qui nous représentent, nous visibilisent et nous élèvent.